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Embarquons pour un voyage fascinant à travers les prénoms interdits à travers le monde. Le choix d’un prénom ne se limite pas à une préférence personnelle. Il peut heurter des lois strictes et des coutumes profondément ancrées.
La protection des enfants en France
En France, le choix d’un prénom doit respecter la dignité de l’enfant. C’est pourquoi les tribunaux ont interdit des prénoms comme « Nutella » et « Fraise », jugeant qu’ils pourraient susciter des moqueries.
L’Allemagne et ses critères rigoureux
En Allemagne, chaque prénom doit recevoir l’approbation de l’administration. Ce processus permet de rejeter les prénoms non genrés ou potentiellement nuisibles. Des prénoms comme « Osama Bin Laden » ou « Adolf Hitler » ne passent donc pas ce filtre.
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Les traditions scandinaves
En Suède et en Norvège, le respect des traditions prime. Il existe des règles liées à la généalogie et à la noblesse que les prénoms doivent suivre. On interdit donc des prénoms comme « Superman » ou « Ikea.
Les restrictions anglo-saxonnes
Même des pays libéraux comme les États-Unis et la Nouvelle-Zélande possèdent leur liste de prénoms interdits. Ils bannissent les prénoms avec des chiffres, des titres de noblesse ou des caractères spéciaux. « Princess » et « 123 » sont donc prohibés.
L’héritage culturel en Asie
En Chine et au Japon, le respect des coutumes et de l’harmonie sociale guide le choix des prénoms. Les prénoms étrangers ou trop singuliers se retrouvent souvent rejetés. Ainsi, « Akuma » (« démon » en japonais) fait partie des prénoms interdits.
Les singularités de l’Est européen
La Russie et la Hongrie ont aussi leurs spécificités en matière de prénoms. En Russie, les prénoms traditionnels prévalent, excluant des choix excentriques comme « BOC rF 260602 ». En Hongrie, le prénom « Ape » a été rejeté car il dérogeait aux règles de phonétique et d’orthographe du pays.
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Les pépites insolites des pays de l’Est
Dans l’Est européen, aussi, des prénoms peuvent susciter l’étonnement. En Russie, par exemple, les prénoms se doivent d’être traditionnels, respectueux des normes sociales. Un couple avait tenté de prénommer son enfant « BOC rF 260602 », en référence à une formule mathématique. Leur demande avait été refusée, le prénom étant jugé inapproprié. Par ailleurs, en Hongrie, le prénom « Ape » a été interdit, car il ne respectait pas la phonétique et l’orthographe traditionnelle du pays. Ces exemples illustrent la manière dont chaque société protège ses enfants, mais aussi ses traditions et son identité culturelle.
Chaque interdiction de prénom témoigne des traditions, des lois et de la protection des enfants. Ce sont des reflets de la diversité et de la complexité humaine. Au final, chaque prénom célèbre notre humanité dans sa riche diversité.
Source : Enfant
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À propos de l'auteur, Ludovic Ledoux
En dehors de mon engagement professionnel, je consacre une partie significative de mon temps libre à une autre passion : la recherche sur l'origine et la signification des noms et prénoms, ainsi que la généalogie. Cette quête personnelle est née d'une fascination pour l'histoire et les récits familiaux, me permettant de plonger dans le passé pour découvrir les racines et les connections qui nous lient.